• Ma biographie avec BTS : Edition J-Hope

    Une longue interview couvrant l'enfance des membres jusqu'à maintenant. Dans le volume 1, on vous offre une existence d'espoir, J-Hope !

    Une enfance pleine d'énergie, son premier rêve était de devenir joueur de tennis !

    Je suis honoré d'être le meilleur frappeur ! Je suis le personnage principal, fufufu. Je voulais montrer plus de mes anciennes photos, mais j'ai perdu mon portable et toutes mes photos de mes années collège. C'est tout ce qui me reste. C'est dommage.

    Je suis né à Gwanju, une ville de provence dans le sud-ouest de la Corée du Sud. J'étais un enfant mignon, débordant d'espoir depuis que j'étais un bébé ! J'ai été dans une maternelle qui était très centrée sur les arts, mais comme tout le monde le sait, mon talent en art craint. (rires) J'ai des souvenirs d'être incapable de bien dessiner, même à l'époque. J'ai probablement été envoyé là juste parce que c'était proche de chez moi. Je me souviens qu'à l'époque, j'étais gêné de me changer pour aller jouer dans la piscine. Ils faisaient changer les garçons et les filles ensemble parce qu'on était encore jeune. Cela me gêné vraiment ! Je pensais : "Pourquoi devons-nous nous changer avec les filles..." C'est pour cela que j'ai des souvenirs de me changer loin des autres. Mais quand je jouais dans la piscine, je me donnais à fond. Même après être rentré à la maison, je jouais dehors jusqu'à la nuit, tous les jours. Ces jours-là étaient vraiment les plus amusants.

    On a déménagé deux fois quand j'étais en primaire et j'ai changé d'école en CE1. J'étais un enfant très actif et j'adorais le sport ! J'ai mais particulièrement le tennis, alors mon premier rêve fut de devenir joueur de tennis. J'étais vraiment mauvais, mais pour certaines raisons, j'avais le rêve de devenir vraiment bon et d'être professionnel !

    Après avoir découvert l'amusement  de danser devant les autres, il a décidé en cours de route de devenir un danseur.

    Le tournant a eu lieu quand j'étais en CE2. A l'école où j'allais le matin pour avoir des leçons de danse de trente minutes, ils mettaient une vidéo de danse et on devait la copier en exercice. C'est là que j'ai réalisé que j'avais un talent pour la danse ! Mes amis me complimentaient, disant : "T'es vraiment bon !" et j'apparaissait même dans ces vidéos comme représentant de l'école. Tous les matins, toute l'école regardait ma danse et suivait. Fufufu. Après ça je suis vraiment devenu intéressé par la danse, mais ce sentiment s'est intensifié durant mon voyage scolaire en CM2. Nous avions un peu de temps pour montrer nos talents et j'ai fait du freestyle sur de la musique que jouée mon professeur.Tout le monde m'a complimenté en me disant que j'étais génial.

    En sixième, j'ai dit à mes parents que je voulais sérieusement apprendre la danse.  Mon père s'est opposé avec véhémence. J'étais un bon élève en primaire, alors il s'est demandé pourquoi j'avais besoin de danser. Il est professeur de littérature au lycée, alors je pense qu'il voulait que j'aille plus loin dans mes études. Mais j'adorais la danse, alors je lui ai dit : "Je veux danser à partir de maintenant, je veux suivre cette voie". Je n'ai jamais cessé d'esayer de lui transmettre ce sentiment. Puis, un jour, mon père m'a dit : "Danse là, maintenant, je veux voir à quel point tu es bon." J'y ai mis tout mon coeur et mon âme, sans musique du tout. Après avoir vu ça, la seule chose que mon père m'a dite fut :"D'accord. Si tu insistes autant, alors tente le coup." La seule chose que j'ai pu dire fut : "Merci beaucoup".

    En entrant dans une équipe de danse locale, il a rêvé de devenir artiste.

    Après avoir sérieusement emprunté la voie de la danse, j'ai rejoint une équipe en entrant au collège. Il y en a une qui fut créée avec moi en centre et en cinquième, j'ai rejoint une certaine équipe de danse en tant que plus jeune membre. Si vous cherchez sur internet, vous pourrez probablement trouver de nombreuses vidéos de l'époque. (rires) Nous avons participé à des performances dans d'autres écoles, ça et là. Nous avons participé à des compétitions de danse de rue et avons gagné beaucoup de récompenses aussi, alors on était plutôt connu pour être bon en danse. Comme j'ai commencé des activités comme celles-là, j'ai commencé à rêver de devenir artiste. J'ai auditionné, remporté un prix de popularité à une compétition de la JYP Entertainment et j'ai même reçu un prix de 300.000 won ! (rires)

    Puis, au printemps 2010, j'ai passé l'audition à ma compagnie actuelle, Big Hit Entertainment, et j'ai commencé à revevoir des leçons en tant que stagiaire. C'est pour ça que j'ai des souvenirs de collège, mais très peu du lycée. Ne pas avoir de souvenirs avec mes amis, c'est dommage. Même les cérémonies de diplômes, la seule à laquelle j'ai participé c'est celle de la primaire. Pour celle du collège, elle s'est déroulée en même temps que mes auditions et celle du lycée était en plein milieu de nos préparations pour nos débuts, alors je n'ai pas pu y aller non plus.

    Pendant sa période en tant que stagiaire à Séoul, il a appris les charmes du rap.

    Concernant le lycée, je suis entré dans celui où mon père enseignait. Après être devenu stagiaire, j'ai reçu des leçons à Gwanju par un système de contrat éducatif pour un moment. Mon père m'a soutenu afin que je puisse faire cela tout en étudiant. Je lui suis vraiment reconnaissant. Puis, pendant le Noël de ma première année de lycéen, j'ai déménagé à Séoul, seul, et j'ai pris des leçons tous les jours à la compagnie. Tout de suite parès que j'ai déménagé, j'ai rencontré Rap-Monster et Suga-hyung et on a commencé à vivre dans le même dortoir. Je n'arrivais vraiment pas à m'habituer au début et, en y repensant, je devais avoir l'air d'un plouc à l'époque, mais tout le monde a été tellement gentil que j'ai pu m'intégrer rapidement.

    J'ai commencé à rapper à peu près à ce moment-là. A l'époque, tous les membres étaient des rappeurs, alors plutôt que de dire que j'ai été forcé à apprendre le rap, je dirais plutôt que c'était plus comme si je l'avais absorbé naturellement au fil des jours. Je retournais au dortoir et le même rythme était joué, puis un rap freestyle commençais. Au début, je me demandais, incrédule :" Comment ils sont capables de faire quelque chose comme ça ?" mais je pouvais ressentir au plus profond de moi que c'était ce qui définissait le rap. C'était vraiment intéressant de les regarder s'amuser, se moquer des uns des autres, se parler à travers le rap.

    Oh, c'est vrai ! Il y a eu une fois quand Suga-hyung et moi étions stagiaires, on a rappé en freestyle toute une nuit. (rire) On se moquait l'un de l'autre et disions toutes les choses que nous ne pouvions nous dire jusque là, sauf en rap. Même maintenant, je n'ai toujours pas oublié ce moment-là. C'était vraiment drôle. Je m'intéressais au chant comme au rap, alors j'ai pris quelques leçons quand j'étais stagiaire. Ces jours étaient remplis de tellement de leçon tous les jours. Je n'avais même pas la liberté de sortir et jouer. Mais ce n'est rien comparé à maintenant, probablement. En y repensant maintenant, j'aurais dû jouer plus à l'époque. (rires)

    Après être devenu stagiaire, la liste des membres ont changé et pendant un an et demi, il n'y avait que Rap Monster, Suga-hyung et moi. C'est à l'époque que j'ai eu une crise, me demandant quand on pourrait débuter. J'étais fatigué mentalement et nous en parlions souvent tous les trois au dortoir. Puis, le projet BTS fut fixé et Jungkook nous a rejoint. Après ça, les chanteurs ont été ajoutés t notre groupe a enfin pris forme. Parmi les membres, V m'a laissé la plus forte première impression. Il peut être cool, populaire et débordant de talent maintenant, mais à l'époque, il était différent ! Il était très bruyant et sentait la sueur. (rires).

    Une fois que nos débuts furent décidés, l'entraînement est devenu encore plus dur. On filmait la chorégraphie pour "We Are Bulletproof pt.2" tous les jours, pendant trois mois, avant nos débuts et même la plus petite différence d'angle entre nos corps ou de mouvements dans nos doigts signifiait que l'on devait filmer à nouveau. Ces jours étaient vraiment difficiles. Je me suis même effondré à quelques occasions. C'est une performance intense comme je me suis blessé souvent. J'avais même trop de sang dans les pieds et on a dû les drainer... on a vraiment beaucoup souffert. Mais c'est parce que l'on a ce passé que l'on a pu débuter et recevoir le soutien de tant de fans maintenant. J'ai le sentiment que tous nos efforts et notre travail ont porté leurs fruits.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique